Quelle conscience politique d’eux-mêmes ont les jeunes Palestiniens en exil ?

lundi 21 juin 2021

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Cet article est publié dans le cadre du cycle IPEV Live, transition from violence : lessons from the MENA, une série de 8 discussions en ligne, tous les mardis du 18 mai au 29 juin 2021.

La ville de Jérusalem revêt une signification particulière pour les juifs, les musulmans et les chrétiens. Elle représente l’un des dossiers les plus sensibles et les plus complexes du conflit entre Israéliens et Palestiniens. Pour les seconds, Jérusalem-Est – al-Quds – doit être la capitale de leur futur État. Pour les premiers, la totalité de Jérusalem – Yerushaláyim – est la capitale unique et indivisible de l’État juif.

La position de la communauté internationale sur Jérusalem est fondée sur une série de résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU) et de l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) : 181, 242, 252, 476 et 478. La résolution 242 du CSNU, adoptée en 1967, est la plus importante pour le reste du territoire palestinien. Elle exhorte Israël à se retirer des territoires occupés et confirme Jérusalem-Est comme capitale du futur État de Palestine. Or, à Jérusalem-Est et dans ses environs, l’expansion des colonies israéliennes n’a pas cessé depuis 1967.

Le front intérieur politique palestinien est faible et divisé voire désintégré, en raison à la fois de divergences politiques internes et de l’action de certaines des grandes puissances. L’« accord du siècle », que l’administration Trump s’est efforcée de mettre en œuvre, en impliquant certains pays arabes, est la dernière initiative en date ayant déstructuré l’unité arabe sur la question et affaibli la position palestinienne.

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