BDS, un pas vers l’avant : entre liberté officielle et répressions officieuses

jeudi 18 mars 2021 : 17h00

Jeudi 18 Mars 2021 Dès 17H
Live sur le Facebook du Comité BDS-ULB
Facebook : https://www.facebook.com/events/748446145807534

Le Comité BDS ULB vous invite pour un point d’actualité brûlant sur les appels au boycott de l’État d’Israël, en compagnie de ses invité(e)s
– Le Collectif Palestine Vaincra
– François Dubuisson, professeur de droit international à l’ULB
– Simon Moutquin, ancien secrétaire BDS et parlementaire Ecolo.
A l’occasion de l’Israeli Apartheid Week 2021 « United against racism » nous nous penchons sur la liberté d’expression du mouvement : entre reconnaissance officielle et répressions officieuses.
⚖️ L’arrêt « Baldassi » de la Cour Européenne des Droits de l’Homme reconnait la légalité des appels BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions). Rendu il y a maintenant 9 mois, a-t-il accouché de la promise liberté d’expression… autre part que sur papier  ?
🛠 Le mouvement citoyen international BDS lancé en 2005, exige notamment la fin de l’État d’apartheid et des colonies. Il n’a cessé de grandir et d’inquiéter l’État hébreux, au point que celui-ci en arrive à créer en 2015 un « ministère des Affaires stratégiques », au sein duquel les millions investis sont exclusivement dédiés à la répression du mouvement citoyen BDS.
Depuis, les militants invitant au boycott d’Israël tant que celui-ci ne respecte pas le droit international, et s’inspirant par là de la campagne anti-apartheid Sud-Africaine sont régulièrement accusés de lui réserver un traitement de défaveur. Tantôt systématiquement poursuivis en justice par leur État (parfois lui-même raciste), tantôt harcelés dans leur espace de vie et sur les réseaux, tantôt les deux, les militants BDS font face à une machinerie qui peut parfois s’avérer intimidante
Peut-être que plus d’un-e aurait raccroché pancartes, stylos et keffiehs s’iels n’étaient pas, comme Angela Davis, Mandla Mandela, Ken Loach ou encore Roger Waters, épris de la certitude, que les droits de l’Humain des Palestinien-ne-s ne se négocient pas face à un État raciste, État que d’aucuns décrivent par ailleurs à raison comme le laboratoire des pratiques fascistes contemporaines.


L’Artiste palestinien dans un "entre-deux"

jeudi 18 mars 2021 : 19h00

Le Jeudi 18 Mars 2021, 19h - 21h
En ligne sur notre chaîne youtube et sur notre page facebook (liens ci-dessous)

Présentation de la séance :
L’identité, l’existence, l’absence et la disparition sont des thèmes récurrents dans l’œuvre de l’artiste Taysir Batniji. Né à Gaza, il vit et travaille pendant de nombreuses années entre la France et la Palestine. Dans cet « entre-deux » géographique et culturel, il développe une pratique artistique pluridisciplinaire (dessin, installation, sculpture, performance, vidéo, etc.). Son travail est souvent teinté d’impermanence et de fragilité. Il rend compte d’une réalité, d’un vécu, d’un présent, proposant une alternative à l’imagerie médiatique spectaculaire. L’artiste détourne, étire, joue avec son sujet initial, de manière à proposer un regard poétique, parfois grinçant, sur la réalité.

Lors de cette séance, l’artiste Taysir Batniji sera en dialogue avec Marion Slitine, post-doctorante (EHESS/Mucem) et anthropologue. Leur discussion sera

l’occasion de présenter l’œuvre et le parcours de l’artiste, ainsi que les enjeux liés à la pratique artistique en exil et les liens entre art et engagement.

"L’Artiste palestinien dans un "entre-deux" " sur facebook : https://www.facebook.com/events/2864508477159512

Visitez notre blog : http://apprendrelapalestine.blogspot.com/
Retrouvez nos séances en vidéo : https://www.youtube.com/channel/UCzYuv2Nc4oSWuObCLibdT4A/