Les autorités israéliennes utilisent des technologies de reconnaissance faciale contre les Palestiens·nes dans les territoires palestiniens occupés.
Amnesty International sort le 2 mai un nouveau rapport, « Apartheid automatisé » démontrant comment les autorités israéliennes utilisent des technologies de reconnaissance faciale contre les Palestiens·nes dans les territoires palestiniens occupés.
Ce réseau de vidéosurveillance renforce le contrôle sur les Palestiens·nes et contribue à maintenir le système d’apartheid en scannant les visages des Palestiens·nes, les ajoutant à de vastes bases de données de surveillances sans leur consentement. Cette surveillance viole, notamment, les droits à la vie privée, à l’égalité de traitement et à la non-discrimination.
Le rapport s’intéresse plus particulièrement aux situations d’Hébron et de Jérusalem-est, les deux seules villes des territoires palestiniens occupés au sein desquelles sont implantées des colonies israéliennes. S’appuyant sur des recherches de terrain de 2022, des témoignages de l’organisation israélienne Breaking the silence ou encore l’analyse de documents issus de sources ouvertes, cette recherche est le troisième volet de notre campagne Ban the scan , appelant à mettre fin à l’utilisation de technologies de surveillance de masse.
Vous pouvez agir contre la reconnaissance faciale dans nos villes en signant notre pétition. Notre demande est la suivante : l’interdiction mondiale des systèmes de reconnaissance faciale, une forme de surveillance de masse.
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